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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:21
Un jour, alors qu'elle marchait dans la rue, une femme, une de ces cadres à qui tout réussit, est tragiquement heurtée par un autobus et meurt. Son âme arrive au Paradis où elle est accueillie par St Pierre.
- Bienvenue au Paradis ! Avant de vous installer ici, il semble que nous ayons un problème. Voyez-vous, c'est plutôt étonnant mais nous n'avons jamais eu de femme 'cadre' jusqu'ici et nous ne sommes pas tout à fait surs de ce que nous devons faire de vous.


- Aucun problème, laissez-moi simplement entrer...


- J'aimerais bien mais j'ai des ordres qui viennent d'en haut. Ce que nous allons faire, c'est vous laissez passer un jour en Enfer et un jour au Paradis et ainsi vous pourrez choisir où vous voudrez passer l'éternité.
- Je pense que j'ai déjà fait mon choix... Je préfère rester au Paradis !


- Désolé, mais nous avons des règles...


Et ainsi, St Pierre emmena la femme-cadre dans un ascenseur qui descendit en Enfer.
Les portes s'ouvrirent et elle se retrouva sur le green d'un terrain de golf magnifique.
Un peu plus loin, il y avait le country club et devant, tous ses amis, bien habillés, qui l'acclamèrent. Ils s'approchèrent, l'embrassèrent et parlèrent du bon vieux temps.
Ils firent un excellent parcours de golf et, le soir, allèrent au country club où ils dégustèrent un excellent steak et du homard. La femme rencontra le Diable qui est réellement quelqu'un de charmant et elle passa un merveilleux moment à raconter des histoires et à danser.
Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte, il était temps de partir.
Tout le monde lui serra la main, lui fit au-revoir et elle monta dans l'ascenseur.


Celui-ci retourna au Paradis et elle retrouva St Pierre.


- Maintenant, vous allez passer un jour au paradis...


Elle passa ainsi les 24 heures suivantes allongée paresseusement sur les nuages à jouer de la harpe et à chanter des cantiques. Elle passa un si bon moment qu'avant qu'elle ne s'en rende compte les 24 heures étaient passées et St Pierre était de retour pour l'emmener :
"- Alors, vous avez passé un jour en Enfer et un jour au Paradis. Maintenant, vous devez choisir pour l'éternité... "


La femme réfléchit un instant et répondit :

«- Et bien, je n'aurais jamais cru que je dirais ceci, le Paradis est vraiment bien mais je crois que je me plairai davantage en Enfer. "


Alors, St Pierre l'escorta jusqu'à l'ascenseur et elle descendit à nouveau en Enfer.


Quand les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, elle se retrouva dans un paysage désolé plein d'immondices. Elle vit ses amis vêtus de haillons ramassant les saletés pour les mettre dans des sacs.
Le Diable vint vers elle et lui mit la main sur l'épaule.
La femme balbutia :
"- Je ne comprends pas... Hier, j'étais ici et il y avait un parcours de golf et un country club et nous avions mangé du homard et nous avions dansé et nous nous sommes bien amusés. Maintenant, c'est un désert d'immondices et tous mes amis semblent misérables."



Le Diable la regarda et sourit :
- Vous êtes cadre, vous devriez connaître le principe : "Hier, nous vous recrutions. Aujourd'hui, vous faites partie du personnel !"...


De même nous sommes aussi appelés à prendre conscience des plaisirs éphémères que nous offre le diable juste pour nous séduire et enfin de compte, on passera une éternité dans les ordures, les flammes éternelles, les souffrances éternelles et tout ce qu'il y a de plus mauvais.....


Aimons le Seigneur Jésus et préparons nos vies pour une éternité à ses côtés ; le monde et tous ses plaisirs passeront mais la parole de Dieu ne passera jamais ; ainsi si tu t'accroches au monde et à ses plaisirs, tu passeras avec.


JESUS T'AIME et il tient à te sauver de toutes tes misères (maladies, manque d'argent, anomalies, logement, célibat, stérilité...tout ce que tu peux considérer comme étant un problème pour toi, Jésus est prêt à t'en libérer ; accepte-le dans ta vie comme ton Seigneur et Sauveur et tu verras sa gloire !)

Auteur inconnu


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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:21


Il était une fois trois arbres qui rêvaient de ce qu'ils seraient une fois devenus grands.

Le premier s'imaginait être un coffre à trésor, renfermant ce qu'il y a de plus précieux au monde.

Le deuxième rêvait d'être un vaisseau grandiose faisant traverser les océans aux plus grands rois de la terre.

Le troisième se voyait grandir et dépasser la cime des plus grands arbres. Tout le monde alors le regarderait avec respect.

Le jour arriva où trois bûcherons vinrent couper les arbres...

Las, leurs rêves furent vite évanouis lorsque le premier fut transformé en une auge grossière pour animaux, le deuxième en une vilaine barque de pêcheur et le troisième débité en grosses poutres imparfaites. Et les jours passèrent et avec eux les souvenirs de gloire.

Un beau jour, une maman au visage rayonnant se pencha au-dessus de la mangeoire pour y déposer un enfant nouveau-né. A cet instant, le premier arbre sût que son rêve s'était accompli et qu'il ne trouverait >pas au monde de Trésor plus précieux que celui qu'il accueillait aujourd'hui.

Beaucoup plus tard, un homme monta dans la barque. Au milieu de la mer, >alors que le vent s'était levé, l'homme se mit debout et, d'un geste de la main, apaisa la tempête. Alors le deuxième arbre sut qu'il ne pourrait transporter à travers les mers de Roi plus puissant et plus >grand.

Enfin, encore plus tard, des soldats vinrent ramasser les poutres pour en faire une grande croix sur laquelle on vint clouer les mains d'un homme. Le troisième arbre ne comprit pas tout de suite ce qui se passait...

Mais le dimanche matin, à la lueur de l'aube, il comprit que pour lui aussi, le rêve s'était accompli. Désormais en tout endroit du monde, les hommes le regarderaient avec les yeux remplis d'Espérance.




Une version de ce conte est proposée par Angéla Elwell Hunt dans le livre "Les trois arbres" aux éditions Centurion

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:20
Seigneur, accorde-moi un esprit souple,
afin que j'accepte de paraître faible plutôt que de peiner ou de briser.
Accorde-moi un esprit droit,
afin que je n'interprète jamais en mal la peine que l'on me fait.
Accorde-moi un esprit simple,
afin que je ne sois pas un poids pour ceux qui m'entourent.
Accorde-moi un cœur ardent,
afin que je reste ouvert à ceux qui pourraient me haïr, m'envier ou me jalouser.
Accorde-moi un cœur humble,
afin que je ne me raidisse pas devant les critiques, les procédés déloyaux, les jugements durs ou hâtifs.
Accorde-moi un cœur large,
afin que je supporte les étroitesses d'esprit et les égoïsmes révoltants.
Accorde-moi une volonté ferme,
afin que je persévère, malgré la fatigue et malgré l'ingratitude.
Accorde-moi une volonté patiente,
afin que mes frères soient heureux, malgré leurs défauts, malgré leurs faiblesses.
Accorde-moi une volonté rayonnante,
afin qu'autour de moi personne ne se décourage, personne ne désespère.
Accorde-moi de ne jamais juger sans preuve et de juger avec miséricorde.
Accorde-moi de ne jamais croire au mal que l'on me dit des autres et surtout, de ne jamais le répéter.
Accorde-moi surtout
de savoir écouter,
de savoir deviner,
de savoir pardonner
afin que mes frères soient plus heureux

Auteur : Kiplin
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:19
Autobiogaphie en cinq actes

► 1
Je descends la rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je tombe dedans.
Je suis perdu... je suis désespéré.
Ce n'est pas ma faute.
Il me faut longtemps pour en sortir.






► 2
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je fais semblant de ne pas le voir.
Je tombe dedans à nouveau.
J'ai du mal à croire que je suis au même endroit.
Mais ce n'est pas ma faute.
Il me faut encore longtemps pour en sortir.

► 3
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le vois bien.
J'y retombe quand même... c'est devenu une habitude.
J'ai les yeux ouverts
Je sais où je suis
C'est bien ma faute.
Je ressors immédiatement.

► 4
Je descends la même rue.
Il y a un trou profond dans le trottoir :
Je le contourne.

► 5
Je descends une autre rue...

(Portra Nelson, cité dans Charles L. Whitfield, M.D. "Healing The Child Within".)

Juste une petite réflexion simple : combien de fois devons-nous tomber dans nos « trous » avant de comprendre qu'il faut peut-être changer de trottoir, de rue ou de quartier ?

Comment peut cette métaphore s'appliquer à vous qui êtes las de toujours « tourner en rond » dans le marasme d'une vie dont les jours se ressemblent... dans l'échec parce que nous répétons toujours, tel un rituel, les mêmes erreurs inlassablement...

Je vous souhaite une belle journée positive.
Laissez-vous « polir » afin de devenir ce beau diamant qui est en vous ! Osez prendre des risques qui vous mèneront vers une vie encore meilleure !

Coachement vôtre,

Michel.
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:18
Le boulanger dune petite ville achetait son beurre à un fermier de la localité. Un jour en rentrant chez lui, le boulanger pesa le beurre qui venait de lui être vendu, et se rendit compte alors que le fermier avait réduit la quantité de beurre tout en exigeant le même prix. Il accusa le fermier de fraude, lui intenta un procès et touts deux se retrouvèrent devant le juge.
Celui-ci demanda au fermier :

- Pour peser votre beurre, avez-vous des poids à mesurer
- Ah non, Monsieur...
- Mais comment faites-vous alors pour mesurer le beurre que vous vendez ?

Le fermier répondit :

- Eh bien, lorsque le boulanger a commencé à acheter son beurre chez moi, j'ai pensé qu'il était juste que j'achète mon pain chez lui. Depuis ce jour, j'utilise son pain d'un demi kilo comme mesure pour le beurre que je vends...


Moralité : la fraude que nous voyons chez l'autre pourrait bien être le reflet de la nôtre.
Rédigé il y a environ 10 mois


Source inconnue
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:18
Quand un enfant vit sous la censure, il apprend à critiquer.

Quand un enfant vit sous les coups, il devient violent.

Quand un enfant vit dans l'hostilité, il devient rebelle.

Quand un enfant vit dans la moquerie, il devient timide.

Quand un enfant vit dans la honte, il se culpabilise.

Quand un enfant vit dans la tolérance, il devient patient.

Quand un enfant vit dans l'équité, il apprend la justice.

Quand un enfant vit dans la sécurit, il acquiert la foi.

Quand un enfant vit dans l'approbation, il acquiert l'estime de soi.

Quand un enfant reçoit des encouragements, il devient confiant.

Quand un enfant reçoit des félicitations, il devient reconnaissant.

Ne négligeons pas la qualité de l'éducation de nos enfants.


Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:17

Deux graines reposaient l'une à côté de l'autre dans une terre fertile au printemps.

La première graine dit :
« Je veux grandir ! Je veux plonger mes racines profondément dans la terre et lancer ma tige haut dans les airs... Je veux voir mes bourgeons s'ouvrir comme des drapeaux annonçant l'arrivée du printemps. Je veux sentir le soleil réchauffer mon visage et la rosée matinale caresser mes pétales ! »
Et elle grandit, ses racines se frayant un chemin profond et sûr.

La deuxième graine, moins enthousiaste, dit :
« J'ai peur. Si je plonge mes racines dans la terre que je ne connais pas, je ne sais pas ce qui m'attend dans cette obscurité. Ma tige est tellement fragile, si j'essaie de percer la croûte de terre pour m'élever dans les airs, elle risque de se briser. Et si, à peine entrouverts, un ver venait à manger mes bourgeons ? Et si je montrais ma fleur, qui sait ? Un enfant pourrait m'arracher de terre. Non ! Il vaut beaucoup mieux attendre pour sortir qu'il n'y ait plus aucun danger. »
Et elle resta immobile, retenait sa croissance, elle attendit jusqu'à ce que des « signes » viennent lui faire changer d'avis.

Un oiseau qui passait par là, fouillant la terre en quête de nourriture, trouva la graine qui attendait et la dévora aussi rapidement.

Chacun pourra trouver une interprétation à cette métaphore qui lui conviendra.
Je vous propose de penser que ceux qui ne veulent pas prendre le risque de grandir se font submerger ou « avaler » par la vie qu'ils mènent en spectateurs.
Vous êtes l'acteur de votre vie, ne la laissez pas dépendre de facteurs extérieurs.

Bonne journée positive et motivante !

Soyez cette graine qui veut grandir et produire une belle fleur !

Coach Michel.
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:17

Cette nuit, dit le vent, il faut veiller.

C'était en ces temps lointains où le flot argenté des rivières d'Amérique coulait encore limpide. Par un crépuscule d'hiver gris et froid, le vent s'adressa aux plantes et aux animaux qui vivaient dans une certaine contrée que limitaient deux fleuves.

« Cette nuit, murmura-t-il, il faut veiller. Un grand événement se prépare ? Je ne saurai vous dire sa nature, ni en quel lieu il surviendra, mais un signe vous avertira. Lorsque vous le verrez, vous devrez vous réjouir et rendre grâce, car après cette nuit rien ne sera jamais plus comme avant. Veillez donc et soyez prêts. »

Le vent s'éloigna vers les marais ambrés. L'obscurité grandit et les étoilent parurent. Tous les animaux et tous les végétaux tinrent alors conseil. La plupart étaient incrédules et certains même narquois. « Qui donc, disaient-ils, peut croire ce que souffle le vent ? » et les uns après les autres, ils s'endormirent, les cerfs et les renards, les écureuils et les ours. Même ces noctambules que sons les opossums et les ratons laveurs, gagnèrent leurs repaires. Tous les oiseaux firent silence, fermèrent les yeux et sombrèrent dans le sommeil.

Tous sauf un petite passereau brun « Il faut bien pensait-il, que quelqu'un reste éveillé, se tienne prête à montrer sa joie et sa reconnaissance si la merveille annoncée se produit. Je veillerai donc et j'attendrai. »

Il se mit à la recherche d'un arbre ou d'un buisson où se percher, mais en vain. Aucun ne voulut de lui.

« Nous supportons des individus de ton espèce tout le jour, grognaient-ils. Laisse-nous au moins nous reposer la nuit. »

Pourtant un arbrisseau vert le pris en pitié « Vient te percher sur l'une de mes branches, je veillerai avec toi. »

Ainsi, dans la forêt endormie, seuls l'oiseau brun et l'arbrisseau vert demeurèrent éveillés.

Soudain, juste avant minuit, ils virent apparaître dans le firmament un extraordinaire corps céleste, plus grand et plus brillant que la plus grosse des étoiles, dont ils contemplèrent, ébahis, la trajectoire jusqu'aux confins de l'horizon. « As-tu vu cela. Se dirent-ils l'un à l'autre. Le voilà l'événement que nous devons célébrer. »

Alors l'oiseau se mit à chanter et l'arbrisseau fit frémir ses feuilles, exprimant ainsi leur joie et leur reconnaissance jusqu'à ce que les étoiles palissent et que le soleil se lève au loin sur l'océan.

Alors, toutes les créatures de la forêt furent stupéfaites de découvrir que l'arbrisseau était parsemé de fleurs d'un rubis éclatant parmi ses feuilles émeraudes et que, sur la plus haute branche, perchait un oiseau de feu au plumage écarlate rutilant.

Le vent revint alors et murmura « Sachez que ces merveilles sont la récompense de la constance, de la foi et de l'espérance. » S'adressant à l'arbrisseau il ajouta « Le vert symbolise la vie et le rouge le sacrifice, ces couleurs seront les tiennes pour l'éternité. » Puis à l'oiseau il précisa « l'écarlate représente le courage et la ténacité, tu porteras cette livrée jusqu'à la fin des temps. »

Et il en est toujours ainsi. Aujourd'hui nous appelons l'arbrisseau Camélia et l'oiseau Cardinal. A dire vrai, peu importe comment on les nomme. Ils sont ce qu'ils sont.



Joyeux Noël.

Michel


Source inconnue
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:16


Que sommes-nous prêt à sacrifier
par amour ou pour atteindre ses
objectifs ?
« L'amour, il faut que ça se gagne et que chaque sacrifice accompli pour lui l'approfondît au lieu de l'amoindrir. »

Paule Saint-Onge


On sait que la vie des nuages est aussi courte que mouvementée. Or, un jour, un très jeune nuage entreprise sa première cavalcade à travers le ciel en compagnie d'une bande de gros nuages bouffis aux formes étranges.

Quand ils survolèrent l'immense désert du Sahara, les autres nuages, plus expérimentés, l'encourageaient : « Plus vite, plus vite ! Si tu traines, tu es perdu ! »
Mais comme tous les jeunes, le petit nuage était curieux et il se laissa glisser à l'arrière des autres nuages qui, eux, ressemblaient à un troupeau de bisons en pleine galopade.

« Que fais-tu ? Remue-toi ! » lui cria le vent

Mais le petit nuage avait aperçu des dunes de sable doré : un spectacle fascinant. Et il se laissait planer d'un vol de plus en plus léger. Les dunes ressemblaient à des nuages d'or caressés par le vent.
L'une d'elle lui sourit « Bonjour ! Je m'appelle Age »

« Et moi Une » répondit la dune.

« Comment vis-tu là-dessous ? »

« Eh bien... avec le soleil et le vent. Il fait un peu chaud, mais on s'y fait ! Et toi, comment vis-tu là-haut ? »

« Avec le soleil et le vent... et de grandes courses dans le ciel.»

« Ma vie à moi est très courte. Et quand reviendra le vent, je disparaîtrais peut-être. »

« Cela t'ennuie ? » demanda le nuage

« Un peu. J'ai l'impression d'être inutile. »

« Moi également. Je me transformerai bientôt en pluie et je tomberai. C'est mon destin. »

La dune hésita un instant et dit « Sais-tu que la pluie, nous l'appelons Paradis ? »

« Non ! Je ne savais pas que j'étais si important ! » dit le nuage dans un beau sourire.

« J'ai entendu raconter par quelques vieilles dunes combien la pluie était belle. Nous nous habillons alors de parures qu'on appelle herbe et fleurs. »

« Oui, c'est vrai, je les ai vues », confirma le nuage.

« Je ne les verrai sans doute jamais », conclut tristement la dune.

Le nuage réfléchit un moment et ajouta : « Je pourrai te couvrir de pluie... »

« Mais tu en mourrai... »

« Oui, mais toi, tu fleuriras », dit le nuage. Et il se laissa tomber, se transformant en pluie aux
couleurs de l'arc en ciel.

Le lendemain, la petite dune était couverte de fleurs.


Question qui pousse à réflexion : sommes-nous capable de don de soi, d'esprit de sacrifice par amour inconditionnel ?

Sommes-nous capables de sacrifier quelque chose pour arriver à ses objectifs et ses projets ?

La notion de sacrifice est essentielle dans le partage et la réalisation de ses objectifs. Nous restons parfois trop attachés à notre petit confort et cela nous aveugle parfois... Et nous nous demandons alors pourquoi nous ne recevons que peu ou pas d'amour ou que nous n'arrivons pas à atteindre nos objectifs.

A réfléchir.

A vos commentaires et sentiments.

Coachement vôtre,

Michel.



Source inconnue
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 23:16
En décembre 1914, le laboratoire de Thomas Edison fut pratiquement détruit par un incendie. Les dommages s'élevaient à plus de deux millions de dollars, mais la police d'assurance garantissait seulement 238.000 dollars, car les bâtiments étaient en béton et, en théorie, ignifuges. Une grande partie du travail de toute sa vie s'envola en fumée ce jour-là.

Au plus fort de l'incendie, le fils de 24 ans d'Edison, Charles, chercha frénétiquement son père parmi les débris et la fumée. Il finit par le trouver, observant calmement la scène, son visage illuminé par les flammes, ses cheveux blancs au vent.

« J'eu mal de le voir ainsi, raconta Charles plus tard. Il avait 67 ans – un âge respectable – et voyant tout son travail disparaître. Lorsqu'il me vit, il cria
« Charles, où est ta mère ? » Je lui répondis que je ne savais pas. Alors il me dit
« Trouve-la et amène-la ici, elle ne verra plus jamais une chose pareille. »

Le lendemain matin, Edison regarda les décombres et dit
« Le désastre apporte une chose précieuse. Toutes nos erreurs sont effacées. Je remercie Dieu de pouvoir recommencer à zéro. »

Trois semaines après l'incendie, Edison réussit à présenter au monde sa nouvelle invention : le phonographe.



Nous vivons dans une société fixée sur les échecs et les problèmes, les expériences négatives, les malheurs,... Elle est orientée « négatif ». A force de l'entendre, cette orientation touche nos perceptions et il nous semble que le monde est bien sombre, que rien ne va, que la réussite n'est réservée qu'à une poignée de quelques chanceux. A force de le voir, nous l'intégrons et nous étonnons que nous ne voyions aucune issue positive.

La chance n'est qu'un très faible facteur de réussite. Tout réside dans notre attitude face aux événements et nos actions qui en résultent.
Il existe des milliers d'exemples de gens inspirants qui stimulent l'espérance, le positivisme, l'optimisme et le changement d'attitude face à ce qu'on appelle « les problèmes ». Si eux ont réussi, alors, dites-vous que vous le pouvez aussi. Prenez le temps de chercher ce genre d'histoires et d'évaluer leurs attitudes pour comprendre leur processus de réussite et vous constaterez que la plupart sont arrivés à ce point grâce à cette attitude et modes de croyances positives et constructives.

Tant qu'un problème est vécu tel quel, nous ne serons jamais dans cet état de réussite et de solutions. Nous sombrons alors dans un immobilisme déprimant. A partir du moment où nous avons intégré une attitude « défi », notre perception changera. Vous verrez que vous développerez un esprit créatif face à ces « défis ».

Cherchez les histoires inspirantes, lisez-les souvent, vous verrez cela changera réellement votre perception de la vie. Elles vous inspireront et à force, vous les intègrerez !
Cela peut paraître tellement simple, et pourtant, c'est tellement vrai !

Belle journée !

Coachement vôtre,

Michel.


Source inconnue
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Présentation

  • : Le blog d'une jeune catholique
  • : Ce blog contient de beaux textes qui véhiculent de bonnes valeurs trouvés sur Internet, des vidéos, de la musique chrétienne et également des textes de moi-même dont des critiques de livres, de films, des articles sur des sujets qui touchent la vie d'une jeune catholique.
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