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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:31
Quand nous sommes plus jeunes, nous pensons que la vie sera mieux une fois que nous serons grands...
Nous aimerions trouver l'âme sœur !
Et puis ça, c'est fait !!!
Après nous pensons être plus heureux avec un bébé,
Puis avec un deuxième...
Puis nous sommes frustrés parce que nos enfants ne sont pas assez vieux et que tout ira mieux lorsqu'ils seront plus grands...
Nous nous disons que notre vie sera comblée lorsque nous aurons une plus belle voiture.
Ou quand nous aurons une maison...
Une plus belle maison !

Pourtant, il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que maintenant.
Notre vie sera toujours remplie de défis, il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux chaque jour.
C'est vrai qu'il est préférable de choisir le bon sillon.
Ce n'est pas toujours rectiligne...
Ni très facile..
....on apprécie d'avoir des amis pour le parcourir...
et puis on le trouve...
C'est le nôtre, il faudra faire avec, où qu'il nous emmène il sera le plus beau...
Le bonheur n'est pas une destination, c'est un voyage, celui de notre vie.
alors profitons en chaque jour, même le lundi !D'accord, ça va être dur...
...il y aura de grands moments de solitude... Tant pis !
....On va bouger..
Faire du sport...
.... rien ne doit nous faire peur..
....mais attention quand même, restons humble...
....et prenons des vacances...
....pensons à donner des nouvelles à nos amis...
....ne nous laissons pas prendre aux mirages...

Maintenant, un test pour trouver ce qui compte réellement pour nous, réfléchissons à ces 4 questions :
1 – quelles sont les 5 personnes les plus riches sur terre ?
2 – quelles sont les 5 dernières gagnantes de Miss Univers ?3 – qui sont les 10 derniers gagnants des prix Nobel ?4 – qui sont les 10 derniers gagnants des Oscars du meilleur acteur ?
C'est difficile, non ? Personne ne s'en rappelle.
Les applaudissements passent !
Les trophées prennent la poussière !
Les gagnants sont oubliés...

A présent, 4 autres questions :
1 – quels sont les 3 professeurs qui ont le plus contribué à ta formation ?
2 – quels sont les 3 amis qui t'ont aidé(e) dans les moments difficiles ?
3 – quelles personnes t'ont fait te sentir spécial(e).
4 – quels sont les 5 personnes avec qui tu aimes passer du temps.
C'est plus facile, non ?

Les personnes qui ont un sens dans notre vie ne sont, pas “cotées” au maximum, avec le plus d'argent, avec les plus grands prix...
Ce sont celles qui se font du souci pour nous, qui prennent soin de nous, celles qui, en toutes circonstances,
restent proches de nous .
Ces personnes simples, ne les oublions pas.
Souvent, elles nous ont beaucoup appris.
“Une bougie ne perd rien...
...si elle sert à en allumer une autre.”

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:31
Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince courageux, habile et intelligent.
Pour parfaire son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès d'un Vieux Sage.
"Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie", demanda le Prince.
"Mes paroles s'évanouiront comme les traces de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant je veux bien te donner quelques indications.
Sur ta route, tu trouveras 3 portes.
Lis les préceptes indiqués sur chacune d'entre elles.
Un besoin irrésistible te poussera à les suivre.
Ne cherche pas à t'en détourner,
car tu serais condamné à revivre sans cesse ce que tu aurais fui.
Je ne puis t'en dire plus.
Tu dois éprouver tout cela dans ton coeur et dans ta chair.
Va, maintenant. Suis cette route, droit devant toi."

Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea sur le Chemin de la Vie.

Il se trouva bientôt face à une grande porte sur laquelle on pouvait lire
"CHANGE LE MONDE".
C'était bien la mon intention, pensa le Prince,
car si certaines choses me plaisent dans ce monde, d'autres ne me conviennent pas."
Et il entama son premier combat.
Son idéal, sa fougue et sa vigueur le poussèrent à se confronter au monde,
A entreprendre, à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant, mais pas l'apaisement du coeur.
Il réussit à changer certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.

Bien des années passèrent. Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
"Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
"J'ai appris, répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon pouvoir et
ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi et ce qui n'en dépend pas".
"C'est bien, dit le Vieil Homme.
Utilise tes forces pour agir sur ce qui est en ton pouvoir.
Oublie ce qui échappe à ton emprise." Et il disparut.

Peu après, le Prince se trouva face à une seconde porte.
On pouvait y lire "CHANGE LES AUTRES".

C'était bien la mon intention, pensa-t-il.
Les autres sont source de plaisir, de joie et de satisfaction mais aussi de douleur,
d'amertume et de frustration."
Et il s'insurgea contre tout ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez ses semblables.
Il chercha à infléchir leur caractère et à extirper leurs défauts.
Ce fut la son deuxième combat.

Bien des années passèrent.
Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité de
ses tentatives de changer les autres, il croisa le Vieux Sage qui lui demanda :
"Qu'as-tu appris sur le chemin ?
"J'ai appris, répondit le Prince, que les autres ne sont pas la cause
ou la source de mes joies et de mes peines,
de mes satisfactions et de mes déboires.
Ils n'en sont que le révélateur ou l'occasion.
C'est en moi que prennent racine toutes ces choses."
"Tu as raison, dit le Sage.
Par ce qu'ils réveillent en toi, les autres te révèlent à toi-même.
Sois reconnaissant envers ceux qui font vibrer en toi joie et plaisir.
Mais sois-le aussi envers ceux qui font naître en toi souffrance ou frustration,
car à travers eux la Vie t'enseigne ce qui te reste à apprendre
et le chemin que tu dois encore parcourir."
Et le Vieil Homme disparut.

Peu après, le Prince arriva devant une porte ou figuraient ces mots
"CHANGE-TOI TOI-MEME".
"Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
c'est bien ce qui me reste à faire," se dit-il.
Et il entama son 3ième combat.
Il chercha à infléchir son caractère, à combattre ses imperfections,
à supprimer ses défauts, à changer tout ce qui ne lui plaisait pas en lui,
tout ce qui ne correspondait pas à son idéal.

Après bien des années de ce combat ou il connut quelque succès
mais aussi des échecs et des résistances,
le Prince rencontra le Sage qui lui demanda :
Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
"J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en nous des choses qu'on peut améliorer,
d'autres qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à briser."
"C'est bien," dit le Sage.
"Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à être las de me battre
contre tout, contre tous, contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
Quand trouverai-je le repos ?
J'ai envie de cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner, de lâcher prise."
"C'est justement ton prochain apprentissage, dit le Vieux Sage.
Mais avant d'aller plus loin, retourne-toi et contemple le chemin parcouru."
Et il disparut.
Regardant en arrière, le Prince vit dans le lointain la 3ième porte
et s'aperçut qu'elle portait sur sa face arrière une inscription qui disait
"ACCEPTE-TOI TOI-MEME."
Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette inscription lorsqu'il avait franchi
la porte la première fois, dans l'autre sens.
"Quand on combat on devient aveugle, se dit-il."
Il vit aussi, gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui :
ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites, tous ses vieux démons.
Il apprit alors à les reconnaitre, à les accepter, à les aimer.
Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer, se juger, se blamer.
Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda : "Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
"J'ai appris, répondit le Prince, que détester ou refuser une partie de moi,
c'est me condamner à ne jamais être en accord avec moi-même.
J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement, inconditionnellement."
"C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première Sagesse.
Maintenant tu peux repasser la 3ième porte."

A peine arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut au loin la face arrière de la seconde porte
et y lut "ACCEPTE LES AUTRES".
Tout autour de lui il reconnut les personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie ;
celles qu'il avait aimées comme celles qu'il avait détestées.
Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait combattues.
Mais à sa grande surprise, il était maintenant incapable de voir leurs imperfections,
leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement gêné et contre quoi il s'était battu.

Il rencontra à nouveau le Vieux Sage.
"Qu'as-tu appris sur le chemin ?" demanda ce dernier.
"J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en accord avec moi-même,
je n'avais plus rien à reprocher aux autres,
plus rien à craindre d'eux.
J'ai appris à accepter et à aimer les autres totalement, inconditionnellement."
"C'est bien," dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse.
Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.

Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la face arrière de la première porte
et y lut "ACCEPTE LE MONDE".
Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette inscription la première fois.
Il regarda autour de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à conquérir,
à transformer, à changer.
Il fut frappé par l'éclat et la beauté de toute chose.
Par leur perfection. C'était pourtant le même monde qu'autrefois.
Était-ce le monde qui avait changé ou son regard ?
Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda : "Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
"J'ai appris, dit le Prince, que le monde est le miroir de mon âme.
Que mon âme ne voit pas le monde,
elle se voit dans le monde.
Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
Quand elle est accablée, le monde lui semble triste.
Le monde, lui, n'est ni triste ni gai.
Il est la ; il existe ; c'est tout. Ce n'était pas le monde qui me troublait,
mais l'idée que je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans le juger,
totalement, inconditionnellement."
C'est la 3ième Sagesse, dit le Vieil Homme.
Te voila à présent en accord avec toi-même, avec les autres et avec le Monde."

Un profond sentiment de paix, de sérénité, de plénitude envahit le Prince.
Le Silence l'habita.
"Tu es prêt, maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit le Vieux Sage,
celui du passage du silence de la plénitude à la Plénitude du Silence".
Et le Vieil Homme disparut.

(Auteur inconnu)
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:30
Seigneur,
Quand je suis blessé, écrasé,
Quand je n'ai plus de courage
Pour continuer,
Merci d'être là
Et de me tendre la main.
Quand vient l'épreuve,
Quand le coup fait très mal,
Et quand je pleure
Dans le silence de ma chambre,
Merci d'être là
Et de me tendre la main.
Quand il n'y a plus de soleil,
Quand ma vie est automne,
Et que le jour tarde à se lever,
Quand tout est nuit,
Quand l'espérance
S'est enfuie dans le vent,
Merci d'être là
Et de me tendre la main
Quand gronde la révolte,
Quand vient la tentation de crier,
De me battre, d'accuser,
Quand je rage contre tout et tous,
Quand je me déteste,
Merci d'être là
Et de me tendre la main.
Quand je prie
Et que tu ne réponds pas,
Quand je ne sais plus te louer,
Te bénir,
Quand je doute de toi,
Quand mon cœur s'est refroidi,
Quand c'est nuit dans mon jardin,
Merci d'être là
Et de me tendre la main.
Merci de me garder ton amour
Quand je reprends le mien.
Merci de me tendre la main
Quand je retire la mienne.
Merci d'être là
Toujours. Amen

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:30
Un jeune homme est allé à l'étude biblique du mercredi soir.
Le pasteur a enseigné au sujet de l'écoute de Dieu et d'obéir à Sa voix.
Le jeune homme ne pouvait pas s'empêcher de penser,
"Est-ce que Dieu parle encore aux gens ?"
Après l'étude, il est sorti avec des amis pour un café et un morceau de
tarte et ils ont eu une discussion sur le message de la soirée d'étude.
Plusieurs personnes ont parlé de la façon dont Dieu les a dirigés dans
différents sentiers.

Il était à peu près 22h00 lorsque le jeune homme s'est mis en route pour
rentrer à la maison.
Assis dans sa voiture, il a commencé à prier, "Seigneur...
Si Tu parles encore aux gens, parle-moi.
Je vais t'écouter et je vais faire de mon mieux pour t'obéir."

Comme il roulait sur la rue principale de sa ville,
il eut la pensée étrange d'aller acheter un 4 litres de lait.
En se secouant la tête il a demandé à voix haute,
"Seigneur, est-ce que c'est Toi ?"
Comme il n'a eu aucune réponse, il a continué sa route.
Mais la pensée lui revint à l'esprit, achète un 4 litres de lait.
Le jeune homme s'est souvenu alors de Samuel et la façon dont il n'a pas
reconnu la voix du Seigneur et il allait toujours courir voir Élie parce
qu'il pensait que c'était lui qui l'appelait.
"Ok, mon Dieu, au cas où ce serait Toi, je vais acheter le lait.
" Ça n'avait pas l'air d'un gros test d'obéissance. Il pouvait toujours
utiliser le lait.
Il s'arrêta dans un dépanneur et acheta le 4 litres de lait et s'est
aussitôt remis en route pour la maison.
En passant la 7e avenue, il a senti une urgence, "tourne dans cette rue".
C'est fou, a-t-il pensé, et il est passé tout droit à l'intersection.
Encore, la pensée lui revint qu'il devait descendre la 7e avenue.
À l'intersection suivante, il a fait demi-tour et a rejoint la 7e avenue.

Sur un ton plutôt amusé, il a dit : "Ok, Seigneur, j'y vais."
Il a descendu la rue sur plusieurs pâtés de maison,
quand soudainement, il a senti comme s'il devait s'arrêter là.
Il gara la voiture au bord du chemin et fit le tour des lieux du regard.
Il était dans un quartier semi-commercial de la ville.
Ce n'était pas le meilleur ni le pire voisinage de la ville.
Tous les commerces étaient fermés et dans la plupart des maisons,
les lumières étaient éteintes et les gens semblaient déjà être au lit.
Là, encore, il sentit quelque chose comme
"Va et donne le lait aux personnes dans la maison qui est juste en face,
de l'autre côté de la rue."
Le jeune homme regarda la maison.
Il faisait noir et les gens à l'intérieur avaient tous l'air partis ou déjà
endormis.
Il est descendu de la voiture et immédiatement, il s'est assis de nouveau
sur le siège.
"Seigneur, ça n'a pas de bon sens..
Ces gens sont déjà couchés et si je les réveille,
ils vont être en colère après moi et je vais avoir l'air stupide."
Encore un fois, il sentit le besoin qu'il devait aller donner le lait à ces
gens.
Finalement, il est sorti de la voiture, "Ok Seigneur, si c'est Toi,
je vais aller à cette porte et leur donner le lait.
Si tu veux que j' aie l'air d'un fou, ok.
Je veux être obéissant. Je suppose que ça compte pour quelque chose,
mais s'ils ne répondent pas à la porte immédiatement, je déguerpis."
Il traverse la rue et sonne à la porte. Il pouvait entendre du bruit à
l'intérieur.
Soudain, il entendit la voix d'un homme crier,

"Qui est là ? Qu'est-ce que vous voulez ?"
Et avant même que le jeune homme n'ait le temps de répondre ou de se sauver,
la porte s'ouvrit.
L'homme était debout devant lui en jeans et t-shirt.
Il semblait tout droit sorti du lit.
Il avait un regard bizarre et n'avait pas l'air heureux de s'être fait
sortir du lit par un étranger.
"Qu'y a-t-il ?"
Le jeune homme lui tend le 4 litres de lait,
"Voilà, je vous ai apporté ceci.
" L'homme prit le lait et courut le long du couloir.
Soudain, il aperçut une femme à l'autre bout du couloir avec le 4 litres de
lait dans sa main.
Elle avait dans ses bras un bébé qui pleurait.
L'homme avait des larmes qui coulaient sur son visage.
Il s'est mis à parler et pleurer en même temps,
"Nous étions justement en train de prier.
Nous avions de grosses factures à payer ce mois-ci et nous avons manqué
d'argent.
Nous n'avions plus de lait pour notre bébé.
J'étais justement en train de prier et demander à Dieu
de me montrer comment je pourrais me procurer du lait."
Et la femme a crié de la cuisine,
"J'ai demandé à Dieu de nous envoyer un ange avec du lait.
Es-tu un ange ?"
Le jeune homme a sorti son porte monnaie et a pris tout l'argent qui s'y
trouvait
et le mit dans la main de l'homme.
Il est reparti vers sa voiture avec des larmes qui coulaient sur son visage.

Il sut à l'instant que Dieu répond aux prières.

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:29
J'ai vu aujourd'hui dans un autobus, une très jolie jeune fille, avec une chevelure blonde. Je l'ai trouvé chanceuse, elle semblait si gaie ; j'ai regretté de n'être pas si jolie, quand soudainement elle s'est levée pour descendre. Je l'ai vue boiter tout au long de l'allée s'appuyant sur une béquille; elle n'avait qu'une jambe. En passant, elle m'a souri.

Mon Dieu, excusez-moi de me plaindre, j'ai deux jambes, le monde est à moi.

Je suis entré dans une boutique pour acheter des bonbons. Le garçon qui m'a servi était très gentil. J'ai conversé avec lui... que je sois en retard n'était pas important. Quand je l'ai quitté, il m'a dit:" Je vous remercie madame ; vous avez été des plus gentille. Ça fait du bien de parler à des gens comme vous parce que vous voyez... je suis aveugle".

Mon Dieu, excusez-moi de me plaindre, j'ai deux yeux, le monde est à moi.

Plus tard, marchant dans la rue, j'ai vu une jeune fille avec des yeux tellement beaux et tellement bleus. Elle regardait les autres enfants jouer. Il me semblait qu'elle ne savait pas quoi faire. Je lui ai demandé : ''Pourquoi ne jouez-vous pas avec les autres ?'' Comme elle ne me répondait pas, j'ai compris qu'elle était sourde.

Oh Dieu, pardonnez-moi si je me plains, j'ai deux oreilles, le monde est à moi. J'ai deux jambes pour m'amener où je veux ; j'ai deux yeux pour voir se lever et se coucher le soleil ; j'ai deux oreilles pour entendre le chant des oiseaux. Mon Dieu, pardonnez-moi si je me plains, vous êtes là et le monde est à moi.

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:28
Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée.
Il s'arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté. Est- ce que ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?
Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule. Bryan perçut sa peur.
' Je vais vous aider madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud... mon nom est Bryan Anderson' '.

Il constata qu'elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien toute seule.
Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, frotta ses mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.
Pendant qu'il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole. Elle lui expliqua qu'elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.
Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement avait eu peur, s'étant imaginée des choses affreuses auxquelles elle avait été exposée s'il ne s'était pas arrêté.

Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu'aider quelqu'un dans le besoin. Dieu seul savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé. Il menait son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l'esprit d'agir autrement. Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut, ' Souvenez-vous de moi'

Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.
A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une bouchée avant de continuer sa route. C'était un restaurent modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour assécher ses cheveux mouillés. Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur.

La vieille se demanda comment une personne avec si peu pouvait être si généreuse envers une étrangère.
Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de 100$ La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour. Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver. Elle remarqua alors une note sur la serviette de table. Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit :
« Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par là. Quelqu'un m'a aidée à m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous.»

Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 $. Eh bien ! Même s'il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir, la serveuse décida de le faire un autre jour. Elle rentra chez elle, et en se mettant au lit, elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit. Comment la dame aurait elle pu savoir qu'elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota doucement à son oreille :
« Tout ira bien. Je t'aime, Bryan Anderson. »
Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.
Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la faire circuler. .. Permettez que cette lumière brille.

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:28
Un jour, l'enseignante demanda aux enfants qui savait expliquer ce que Dieu était .
Un des enfants leva la main et dit:
Dieu est notre Père. Il a fait la terre, la mer et tout ce qu'il y a dedans. Il nous a créés
comme Ses enfants.”
L'enseignante cherchant d'autres réponses, alla plus loin :
Comment savez-vous que Dieu existe si vous ne l'avez jamais vu?”

Toute la classe demeura silencieuse...
Pierre, un enfant très timide, leva sa main et dit:
Ma mère dit que Dieu est comme le sucre dans mon lait au chocolat qu'elle me fait tous les matins. Je ne vois pas le sucre mélangé au lait au chocolat dans ma tasse, mais s'il n'y était pas, il n'aurait aucune saveur...
Dieu existe, Il est toujours parmi nous, mais nous ne le voyons pas, mais s'Il sortait de notre
vie, elle serait sans saveur”

L'enseignante sourit et dit: Très bien Pierre, je vous ai enseigné beaucoup de choses,
mais aujourd'hui, tu m'as enseigné quelque chose de plus profond que tout ce que je savais déjà. Maintenant je sais que Dieu est notre sucre et qu'Il adoucit notre vie tous les jours!”
Elle lui fit un câlin et sortit, surprise par la réponse de cet enfant.
La sagesse n'est pas dans la connaissance sinon dans l'existence de Dieu dans nos vies.
Beaucoup de théories existent, mais la douceur comme celle de Dieu n'existe même pas dans
les meilleurs sucriers.

Source inconnue
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:28
Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur "La planification efficace de son temps" à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein?"
Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?"
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda :
"Est-ce que ce pot est plein?"
Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
L'un d'eux répondît: "Probablement pas!"
"Bien!", répondît le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda :
"Est-ce que ce pot est plein?"
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non!"
"Bien!", répondît le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience?"
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire".
"Non", répondît le vieux prof, "Ce n'est pas cela". La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite. Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)". D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.
Bonne méditation !

Source inconnue
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:27
Un homme se leva pour accomplir la prière matinale à l'église.
Il s'habilla, et emprunta le chemin de l'église.
En cours de chemin, il tomba et ses habits se salirent, il douta de la pureté de ses habits.
Il se leva, et se dirigea vers sa maison.
Une fois à la maison, il se changea, et s'en retourna à l'église.
Sur son chemin, il tomba à nouveau et se salit encore, il se releva, se nettoya et se dirigea vers sa maison.
Une fois à la maison, il se changea une fois de plus, et s'en retourna à l'église.
Sur son chemin, il rencontra un homme tenant une lampe, il lui demanda son identité mais l'autre lui rétorqua :
- « J'ai vu que tu es tombé deux fois sur ton chemin vers l'église c'est pourquoi j'ai apporté cette lampe pour t'éclairer le chemin.».
L'homme le remercia infiniment et tous deux se dirigèrent vers l'église.
Une fois à l'église, le premier demanda à l'homme à la lampe de venir prier avec lui dans l'église. Ce qu'il refusa.
L'homme le lui demanda encore deux fois mais la réponse était la même.
L'homme lui demanda pourquoi il ne voulait venir prier.
Il lui répondit :
- «Je suis Satan ».
L'homme fut choqué par cette réponse.
Satan lui expliqua : Sur ton chemin vers l'église c'est moi qui te fis tomber.
Quand tu retournas à la maison pour te purifier et revenir à l'église, JÉSUS te pardonna tous tes péchés.
Je te fis tomber une seconde fois et même cela ne te découragea pas de retourner remplir les conditions de pureté et venir prier à l'église.
Mais au contraire tu repris le chemin de l'église avec la même intention.
Du fait de ta détermination, JÉSUS pardonna les habitants de ta maison.
J'ai eu peur qu'en te faisant tomber une troisième fois, JÉSUS ne pardonnât tous les habitants de la cité.
Je fus convaincu qu'à coup sûr tu atteindrais l'église.

La morale, c'est qu'il ne faut pas laisser satan voler le bénéfice de ses actions.
Il ne faut jamais abandonner une bonne action que vous avez l'intention d'accomplir car vous ne pourrez jamais mesurer la récompense attachée, en franchissant les obstacles dressés face à l'accomplissement de cette action.

Auteur inconnu
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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 22:26


Je me rappelle l'époque avant d'être une tasse, je n'étais qu'une boule d'argile.
Un jour, mon maître s'empara de moi et se mit à me frapper de ses mains, à me modeler. Cela me faisait mal et je le suppliai d'arrêter, mais il se contenta de me sourire en disant :
« Pas encore »
J'avais si mal au cœur que je croyais que ma fin était venue. Heureusement, il finit par me sortir de là.
Puis il me plaça sur un tour de potier, et me fit tourner, tourner...
Je ne comprenais pas pourquoi il voulait me faire passer par le feu. Alors je hurlai, je le suppliai d'arrêter, de me faire sortir. A travers la porte vitrée, je distinguais encore Son visage, et Je le vis me sourire te hocher la tête, en disant :
« Pas encore »
Puis soudain, me saisissant, le Maître se mit à me poncer et à me brosser. Il prit un pinceau et me badigeonna de toutes sortes de couleurs. Les vapeurs étaient si fortes que je cru m'évanouir. Je L'implorai d'arrêter, mais avec le même sourire, il me dit à nouveau :
« Pas encore »
C'est alors qu'Il me plaça dans un autre four, plus chaud encore que le premier. Cette fois, j'allais suffoquer, j'en étais sure. En larmes je Le suppliai, mais une fois de plus, Il se contenta de me sourire en me disant :
« Pas encore »
A ce moment-là, la porte s'ouvrit toute grande et le Maître annonça :
« Maintenant »
Il me prit dans Ses mains et me déposa sur une étagère. Ensuite il me tendit un miroir en me disant de me regarder. Je n'en croyas pas mes yeux.
Je m'écriai : « Oh, quelle magnifique tasse ! »

Alors le Maître expliqua :
« Je voudrais que tu comprennes : Oui, quand je te frappais et que Je te modelais, Je savais que cela te faisait mal. Je savais que le tour te donnait des vertiges.
Mais si je ne m'étais pas occupé de toi, tu te serais desséchée, et tu serais restée à tout jamais une simple boule d'argile. Ta personnalité n'aurait pas pu s'épanouir.
Je savais que le premier four était brûlant, mais si Je ne t'y avait pas mise, tu te serais effritée.
Je savais que tu étais incommodée par le ponçage et la peinture, mais si je t'avais épargnée, ta vie serait restée sans couleurs.
Et le second four, oh ! Je savais bien qu'il te serait presque insupportable !
Mais vois-tu, si Je ne t'y avais pas placée, tu n'aurais pas été capable de résister aux pressions de la vie.
Ta force n'aurait pas suffi, et tu n'aurais pas survécu bien longtemps.
Tu vois, alors même que tout semblait si difficile, je prenais soin de toi. Je savais ce que tu allais devenir. Dès le premier instant. J'entrevoyais déjà le produit fini ! »

« Seigneur, Tu es notre Père ; nous sommes l'argile, et Tu es le potier ; et nous sommes l'œuvre de Tes mains. » Esaïe 64 : 8

Auteur inconnu

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